« Pourquoi des gens qui devraient s’aimer depuis des années se cherchent sans se trouver sur Tinder? »
La malédiction de la zone de confort : présentation de l’éditeur
Rose a (presque) tout pour être heureuse.
Après 763 auditions infructueuses elle a enfin décroché son premier grand rôle dans la série télé de l’année. Elle peut compter sur le soutien d’une joyeuse bande et d’un fiancé imaginaire avec qui elle assure vivre, enfin, une relation équilibrée. Son unique manque ? Un précieux recueil de poésie médiévale dont elle a besoin pour calmer son émotivité pathologique.
Ben n’a (presque) rien pour être heureux.
En panne d’émotions, le scénariste et auteur de polars n’arrive plus à écrire une ligne. Il se noie dans un quotidien sinistre qu’il dissimule mal à ses deux seuls amis. Son unique réconfort ? Les mails hystériques d’une dingue qui lui réclame un bouquin comme une naufragée, une bouée au milieu du Pacifique.
Ils étaient faits pour ne PAS se rencontrer.
Probabilité qu’ils vivent un jour heureux ensemble : nulle.
Probabilité qu’une probabilité soit fausse : non négligeable.
Et si la vie déjouait les algorithmes ?
La malédiction de la zone de confort : mon avis
Je connais bien Marianne Levy à travers la Team RomCom, collectif d’auteures de comédies romantiques dont je fais moi-même partie. J’avais donc particulièrement hâte de lire La malédiction de la zone de confort, d’une part parce que j’avais adoré le précédent roman de Marianne Levy, d’autre part parce qu’elle m’en a parlé régulièrement pendant un an, alors qu’elle l’écrivait. Elle m’en disait toujours soit trop, soit pas assez et me laissait seule avec ma patience légendaire, me ronger les ongles alors que je me demandais : mais de quoi peut bien parler ce livre ??? Réponse : ce roman parle d’amour. Le grand, le vrai, avec un très grand A et des étoiles plein les yeux, en mode Hugh Grant renverse son jus d’orange sur Julia Roberts dans une librairie à Notting Hill et Harry fait genre il n’est pas raide-dingue de Sally pendant tout le film.
Rose et Ben sont des personnages comme on les aime, un peu paumés, un peu excentriques, avec des qualités qui donnent envie de leur faire des câlins et des défauts attendrissants qui donnent envie de s’en faire des copains. Les personnages secondaires, les potes notamment, sont tout aussi attachants et bien dessinés.
La particularité de ce roman ? Il se passe sur le tournage d’une série télévisée. Ben est auteur-scénariste, Rose est actrice, ce qui n’a l’air de rien comme ça, mais engendrera comme un léger conflit d’intérêt qui pourrait bien tout gâcher… Cet univers, que l’auteure connaît par coeur (elle est critique de série), est parfaitement rendu tout le long du roman. On s’y plonge avec délice et on s’imagine sur un plateau de tournage. On s’amuse des péripéties de nos deux héros, (péripéties qui pour une fois ne sont pas uniquement racontées du point de vue féminin), on sourit, on a du mal à les lâcher avant la fin, durant laquelle on risque d’avoir les yeux un peu humides…
Ce roman se lit comme on regarde un film. Il devrait enchanter tous les fans de comédies romantiques, ceux qui sont incapables de se retenir de regarder Love Actually en boucle tous les ans à partir du 1er décembre, qui connaissent par coeur les répliques de Pretty Woman et ont versé une petite larme quand La-La-Land n’a pas eu son Oscar. En bref, un (très) gros coup de coeur. Et en plus, la couverture est sublime !
Pour discuter en pyjama abonne-toi à la newsletter
ou retrouve-moi sur
Facebook / Instagram / Twitter / Youtube
La malédiction de la zone de confort : l’auteure
Dans un monde parfait, Marianne Levy dégusterait des cheesecakes en regardant ses séries préférées ou en écrivant des histoires. Dans le monde réel, c’est le bon côté de son métier de critique TV, rien ne l’empêche de le faire sauf… la science. Puisque personne n’a encore trouvé le moyen de ne pas en subir les conséquences physiques sur une balance.
C’est ce qui a conduit la journaliste à passer plus de temps dans son monde imaginaire. Elle est aussi l’auteure de « Dress code et petits secrets » et « Dress code et petits secrets 2 – L’aventure américaine« .
Liens utiles : Le site, la page Facebook de Marianne Levy, son Twitter
Titre original : La malédiction de la zone de confort
Auteur : Marianne Levy
Genre : comédie romantique / roman feel-good
Première date de parution : octobre 2017
Langue d’origine : Français
Pays d’origine : France
Prix : 19,90€
Nb de pages : 397 pages
Je ne m’étais pas noté ce roman dans les sorties d’octobre mais c’est chose faite! 🙂 Il a l’air frais et très sympa! 🙂 Merci pour ton avis!
J’aimeAimé par 1 personne
On est d’accord 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
olala ça donne trop envie!!!
J’aimeAimé par 1 personne
N’hésite pas, il est top !
J’aimeJ’aime
Pingback: Les critiques aiment déjà La Malédiction de la zone de confort et elles l’écrivent ! – Marianne Levy
Pingback: La Malédiction de la zone de confort, coup de coeur de la critique ! – Marianne Levy
Pingback: La Malédiction de la zone de confort, coup de coeur des critiques ! – Marianne Levy