Doria a 28 ans, ni job, ni appartement et rêve de devenir comédienne. En attendant le rôle de sa vie, elle joue dans des publicités pour détergents. Après une rupture avec un photographe infidèle, elle décide de venir s’installer chez son père, Max, séducteur, bon vivant et excellent joueur de poker. À peine a-t-elle emménagé dans son appartement des Grands Boulevards, à quelques pas du Grand Rex, qu’elle apprend que la Banque Générale propriétaire de l’immeuble a décidé de le vendre et que tous les locataires risquent l’expulsion. Fascinée par l’histoire du quartier et ses multiples voisins aux personnalités hautes en couleur, Doria décide de tout faire pour sauver les locataires du 19bis boulevard Montmartre.
Les (gros) plus : une belle balade, parfois un peu désuète, dans le Paris des théâtres de boulevard, des bouffes et des anciens tripots. Les personnages, du banquier en mal d’amour à la vendeuse de sex-toys en passant par le patron du bistrot du coin sont tous attachants, un peu décalés mais tellement Parisiens qu’on aura tous l’impression de les avoir déjà croisés quelque part. Quelques scènes sont franchement rigolotes et l’écriture est très vive, bref, une lecture agréable et sans effort.
Les (petits) moins : les amateurs de grandes histoires d’amour resteront sur leur faim : la romance reste très secondaire dans l’intrigue.
À lire, donc, en particulier pour les amoureux de Paris et de la vie de quartier.
Pour l’acheter sur amazon (18€) : ici
Pour accéder au blog de Tonie Behar, comédieromantique.com : ici
J’ai travaillé quelques temps dans ce quartier… Pas sûre de le lire mais je le note dans un coin 😉
J'aimeJ'aime
La vie de quartier est très bien rendue, ce d’autant plus si tu connais un peu, je pense 😉
J'aimeJ'aime
Pingback: Petite définition de la Chick-Lit (pour les nulles) | Fan de chick-lit
J’en garde le souvenir d’une lecture fort sympathique et agréable! Et en effet, la vie de quartier parisienne est bien rendue, de manière fort originale qui plus est.
J'aimeJ'aime
Pingback: « Il n’y a pas de guerre entre le papier et l’écran, c’est le texte qui compte Interview de Tonie Behar, romancière chez JC Lattès | «Fan de chick lit
Pingback: Si tu m’oublies de Tonie Behar | Marie lit en pyjama