Allez, c’est promis, après celui-ci, j’arrête…
On avait rencontré le beautiful bastard, Bennet et sa charmante tendance à arracher les culottes de ses stagiaires, le beautiful stranger, Max et son accent british sooo sexy, voici le beautiful player, Will, le phobique de l’engagement aux multiples partenaires sexuelles.
L’histoire : Hannah a 24 ans et travaille comme une folle à NYC, son grand frère (qui, au passage, n’a pas inventé l’eau tiède) se fait du soucis pour elle et demande à son meilleur pote, Will, 31 ans, beau gosse tatoué, musclé et brillant (évidemment), de la sortir un peu. Le beau Will va prendre son rôle de mentor très très à coeur, trop à coeur même, et ça va vite déraper…
C’est mal écrit, c’est cul et cucul comme c’est pas permis, mais soyons honnête, ce livre remplit son contrat. Une histoire d’amour qui accroche, des scènes hot hot hot, des obstacles, des disputes et des réconciliations passionnées sous la douche, une couverture à tomber amoureuse avant même d’avoir ouvert le livre.
Les points forts par rapport aux deux premiers tomes : une touche d’humour, quelques vannes assez rigolotes et le personnage féminin, Hannah, qui pour une fois n’est pas une grosse bombasse impeccablement habillée, mais une fille naturelle et un peu pataude au surprenant franc parler, plus attachante que Sara ou Chloe des Beautiful #1 et #2.
Les moins : Les scènes de sexe vite répétitives, malgré les efforts de Christina Lauren pour retarder un peu la première nuit entre nos deux héros, contrairement aux deux premiers opus où, clac-clac, c’était réglé dès le deuxième chapitre. Un peu long donc (je veux, tu veux pas… tu veux, je veux plus… on veut, mais on n’a plus de batterie pour s’appeler). Une intrigue un peu plus développée ne nous aurait pas tués.
Voilà, bref, conclusion pour conclure et en fin de compte : si vous avez aimé Beautiful Bastard et Beautiful Stranger, lisez Beautiful Player, si vous n’avez pas aimé Beautiful Bastard et Beautiful Stranger, ne lisez pas Beautiful Player. C’est aussi simple que ça.
La version papier sur amazon : c’est là
La version kindle : par ici
Pour la critique du tome 1, Beautiful Bastard : cliquez ici.
Date de publication aux USA : 29/10/2013
Pays d’origine : USA
Langue : Anglais
Date de publication en France : 2014
432 pages
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Analyse très drôle 😉 ça a fait rire les élèves de me voir rire devant mon ordi (je suis la dame du CDI). En effet, ce livre rempli son contrat ; l’écriture n’est pas terrible, mais pour m’y être essayée, c’est franchement pas facile d’écrire ce genre de choses… Bonne continuation !!!
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Merci pour ton commentaire 🙂 Moi aussi je pouffe souvent derrière mon ordi au boulot 😉
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Personnellement, c’est le tome que j’ai préféré de la série. J’ai aimé que Will soit dépassé par les évènements, par une situation qu’il a toujours eu l’habitude de maitriser, qu’il soit plus tendre que Benett. Et j’ai adoré Hannah ; ce n’est pas l’héroïne, super ambitieuse, manicurée et brushinguée à mort dont on a l’habitude dans ce type de roman… Elle est normale, pas très sûre d’elle, pas trop branchée mode. Et ma
lgré le fait qu’elle ait eu un coup de coeur pour Will depuis qu’elle toute jeune, elle est très lucide sur le fait que Will risque de lui briser le coeur et qu’elle ne veut pas se laisser faire. J’ai apprécié aussi l’humour mais j’aurais aimé une conclusion un peu plus fouillée.
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Oui, bien d’accord avec toi sur le personnage d’hanna ! 🙂
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